Ah ! Le Wakfu, que ne donnerais-je pas pour arrêter d'en entendre parler à longueur de Temps. ''Il faut protéger la nature, les petits piou et blablabla''.
D'accord, mais pour quoi ? Sadida est bien gentil mais si nous en sommes là aujourd'hui c'est de sa faute Non ?
Sa fichue poupée manipulant cette fichue aberration qu'est Ogrest... Voilà tout ce qu'on peut constater finalement.
C'est ça le Wakfu ? La Vie qu'il faut protéger coûte que coûte ? Alors que tout ce qu'elle semble apporter à terme n'est que Trahison et Chagrin, éléments combinés qui ont failli forcer le monde des douze à se contenter d'une vie aquatique. Les poissons sont bien mignons mais ça pue et je laisse ça à la racaille Sufokienne.
Stasis. C'est pourtant si simple, la vie telle qu'elle existe aujourd'hui, ne devrait plus être, il y a eu une erreur de calcul, le chagrin aurait dû mettre un point finale à cette ignominie qu'est la vie actuelle. Les larmes d'Ogrest ont échoué dans leur oeuvre, de ce fait il nous appartiendra de la finir et d'achever ce monde en putréfaction.
Et que le grand Horloger m'emporte, qu'importe ce que les dieux en disent. Leur propre défaite face à l'aberration n'est qu'une preuve de plus que cette ère est révolue et qu'il faut y mettre un terme.
La solution la voilà, un monde parfait, sans vie, dénué d'émotions qui ne sont que le vecteur de la souffrance, un monde figé sans l'être car toujours sujet du Temps. La Perfection.
L'ultime devoir de ceux qui auront su être clairvoyant, ni aveuglé par leurs sentiments, ni par quoi que ce soit d'autre.
Stasis, simplement. Guerre et conflit jusqu'à l'extinction totale de la vie.
Et qui sait, lorsque même les larmes d'Ogrest se seront taries à jamais et les Dofus ainsi libérés alors la Stase pourra s'arrêter et les aiguilles du Cadran à nouveau laisser place à la Vie, une Vie cette fois épurée. Je le souhaite mais je ne serai plus là pour le voir si jamais j’atteins mon but, cela doit être ainsi.
S'incarner pour désincarner ce mond... *la suite est rendu illisible par divers gribouillis et un morceau de page arraché*